Zentaï et bondage

D'abord les cordes... bien pliées, posées à portée de mains, noires et douces...

 Ensuite crapule... en zentaï blanc, avec sa cagoule et sa perruque, déshumanisé, son sourire que je devine...

La concentration, la recherche de l'élégance, du style, de la symétrie, de la meilleure position, de son confort dans mes cordes, la douceur des cordes en coton qui glissent entre mes doigts, son zentaï chaud comme une seconde peau, les caresses le long de son corps, les allers-retours sur son torse, entre ses jambes...

 

Les photos qui vont immortaliser ce moment, chercher le meilleur angle, avec ou sans flash... le martinet qui s'invite sur ses fesses, le piétiner, le chatouiller, la sensualité de son corps encordé, magnifié...

Et la délivrance, méthodiquement tout retirer et replier les cordes, la sensation de déballer un cadeau et enfin, le prendre dans mes bras...

- Souvenirs de crapule un soir de novembre -